Si c'est vrai que les licornes ça chie des cupcakes, et que 2009 a été une année de marde pour moi (et mes collègues), l'issue était inévitable: un an d'espoir, de chimères, de délires et fou rires, de moins plaisant...de sucre, beaucoup trop sucre...ben ça a donné un physique de barbapapa, sans la partie l'fun de pouvoir se transformer en n'importe quoi.
À défaut de quoi...j'écrirai n'importe quoi. Mes seins commencent là ou mes joues finissent. L'avantage, c'est que ça cache mon double menton. Voilà, c'est dit! N-I-M-P-O-R-T-E Q-U-O-I !
J'exagère. Parce que j'ai foxé le gym aujourd'hui. J'avais peur d'aller à l'épicerie après. Ou pire! À la SAQ. J'avais une bonne raison: une assemblée générale animée par un avocat à la chemise mauve et à la cravate agencée. Il aurait mieux retenu l'attention de notre monde avec mon t-shirt de licorne. Quand même Obama est immortalisé (nu!) avec Pégase dans un calendrier 2010, je me dis que les licornes, c'est crédible, sérieux et que ça pourrait même être persuasif en maudit à la table de négo devant le Boss.
Ok...ok...je fixe tout de suite les règles: Pas question d'écœurer le peuple ici avec mon lock-out de journaliste. NO Madame. Sauf exception. Je ne parlerai de mon conflit de travail que les jours ou Céline sera en "front" du JdeM. PROMIS. Je le jure, la main sur un cupcake. A rainnnnnnnbowww one.
Bon, c'est assez comme intro. Déjà que j'ai manqué Mirador pour écrire ça.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire